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les aimants

16 janvier 2018

Presque 4 ans après mon dernier message ici-même,

Presque 4 ans après mon dernier message ici-même, Rosie et moi avons rompu.

La lassitude, et le manque de projets en commun ont fait que Rosie a préféré stopper notre relation il y a 6 mois.

Rosie me manque cruellement, la vie est bien terne sans elle, mais elle a sans doute pris la bonne décision.

Je regrette pleinement cette période, mélancolique et triste, cette période où tout était simple et excitant.

Je revois ses photos, je relis les textes de ce blog, et tout ça me manque, vraiment.

On était amoureux, on baisait magnifiquement, c'était vraiment magique.

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24 février 2014

Difficultés passagères?

En bientôt 10 ans, Rosalie et moi avons connu pas mal de péripéties. Quelques entorses que l'on a déjà évoquées ici, mais aussi quelques situations chez nous particulièrement difficiles. Depuis quelques jours, il semble que l'histoire se répète. En effet, depuis le premier jour, notre problème majeur est de gérer convenablement nos vies amoureuses et sexuelles respectives à la maison, en parallèle à nos ébats gargantuesques. Petit à petit, à force de nous dévorer continuellement à chaque occasion, de baiser magistralement et de nous confier sans retenue l'un à l'autre, nous éprouvons de plus en plus de difficultés dans nos propres couples. Baiser chez nous devient très souvent une corvée et la comparaison est vraiment pénible. Comment ne pas comparer quand en secret, nous réalisons le meilleur?

Depuis quelques jours donc, le conjoint de Rosalie n'en peut plus. Le couple s'éffrite dangereusement. La séparation est évoquée.  Rosalie se trouve cette fois devant un cruel dilemme. Soit son couple explose et sa situation deviendra pénible, soit elle tente par tous les moyens de se rapprocher de celui qui attend depuis des années de la tendresse et de l'amour...

Bien entendu, ma situation est à peu de choses près la même. Je passe mon temps à mentir chez moi pour cacher l'évidence. Ma compagne me réclamant l'amour que je ne lui porte plus. Mon couple est continuellement sur le fil du rasoir, nos baises de plus en plus insipides... L'amour et la fougue ayant fait place à du respect pépère bourgeois.

A demi-mots, une solution a parfois été évoquée. Et si on tentait le coup ensemble? Bizarrement, cette question provoque toujours un embarras de taille. A l'évidence, Rosalie et moi n'envisageons rien de tout ça, et comme des ados attardés, nous mettons sans cesse un plâtre sur la jambe de bois. Sans doute trop attachés finalement au confort de nos familles, au train-train de nos existences, nous préferons vaille que vaille l'excitation de l'adultère à l'affrontement du vrai problème. Jusqu'au clash sans doute.

Cette fois donc, l'enjeu étant de taille (tout perdre d'un coup), Rosalie a pris la décision du rapprochement, me prévenant au passage que la situation serait sans doute parfois pénible. En effet, pour ajouter au scabreux de cette deuxième vie, nous nous racontons régulièrement nos (minables) baises à la maison histoire de nous confirmer l'excellence des notres. Comptes rendus absolument surréalistes et idiots, mais qui ont le mérite de nous rassurer. Je m'attends dorénavant aux récits de baises réconciliatrices, elle cherchera sans doute à m'amadouer un peu...

Inutile de préciser que cette situation est complétement absurde, nous en sommes conscients tous les deux, mais notre réalité est celle-là, bête et immature... En attendant, on souffre.

Vendredi, alors qu'une grosse dispute avait déchiré sa journée avec son conjoint, Rosalie m'a retrouvé dans le petit cul de sac habituel, à quelques rues de chez moi. La tension était palpable. La limite était atteinte. Quelque chose très proche d'une rupture définitive couve. On aurait pleuré dans les bras l'un de l'autre à l'idée de devoir se perdre. Pourtant, la priorité est bien de sauver son couple, même si ça passe par du sexe et de la tendresse regaillardis. Pénible oui...

Au bout de quelques minutes, cette envie insoutenable et bestiale nous a de nouveau envahit. Cette même envie intacte depuis 10 ans. Rosalie s'est jetée sur ma queue à peine sortie. Je la caresse et notre excitation redouble. Sa chatte est trempée, je bande comme un mulet. Il est à peine 17h, et nous sommes en rue, de plein jour. Peu importe. Rosie se plante sur moi, s'embroche merveilleusement et nous nous embrassons comme des morts de faim. Nos yeux sont mouillés d'émotion, nos désirs volcaniques! Au bout de quelques minutes, nous jouissons les yeux dans les yeux, assommés par l'orgasme intense et fugace. A cet instant, ni l'un ni l'autre ne sait si c'est la dernière fois qu'on baisera, mais de toute évidence, on s'aime comme des dingues.

 

 

30 janvier 2014

came

Baiser merveilleusement, divinement bien, ne peut que renforcer la dépendance physique que Rod et moi éprouvons l'un pour l'autre. C'est parfois perturbant finalement de baiser si bien car il m'arrive de me demander si le cul ne surplombe pas tout et fait de notre relation une espèce de "leurre amoureux". Après autant d'année, cette question me revient de moins en moins souvent. Je sais pas, les années rassurent sur les sentiments éprouvés, le besoin de se sentir tout le temps où que l'on soit, le fait que l'on considère l'autre comme son confident ( le seul et l'unique à qui TOUT peut être dit ) rassure encore plus. Le temps que l'on peut se consacrer en face à face est souvent compté, rappelé trop vite par nos vies professionnelles ou familiales. Nos discussions sont donc rapides quand on passe tout le temps passé ensemble à baiser comme des dieux. Oui, nous discutons beaucoup, principalement virtuellement ou au téléphone. Ce midi, je rejoins Rod pour la deuxième fois de la semaine. Je passe le prendre en voiture et prends la direction de notre chemin de campagne favori. L'aller est assez calme, nous discutons de tout et de rien. Une fois garée, nos bouches s'appellent, s'attirent, se goûtent... la main de Rod plongle sous ma jupe et se retrouve très vite à me tripoter la chatte. Je me sens déjà super frétillante, n'ayant qu'une envie, sauter bouche en avant sur sa queue qui commence à durcir. Les choses s'enchaînent très vite, la buée gagne les vitres de la voiture tandis qu'une moiteur enveloppe les doigts de Rod enfoncés dans mon vagin. je le suce avidement avec un soulagement non dissimulé. Nos jeux continuent pendant un moment, nos mots de chiens excités nous explosent la bouche et les tympans. Je deviens folle d'envie. Je viens m'empaler sur sa queue dure, moment qui nous fait trembler tous les deux. Ses yeux plongés dans les miens, j'entame un va et vient irradiant mon bas ventre de plaisir. Sa queue s'enfonce à merveille en moi, nos bassins se rejoignent, ses mains m'écartent les fesses.. je jouis à en perdre la tête. Je ne suis pourtant pas rassasiée. Une fois le premier orgsame éclaté, je n'attends qu'une chose, que Rod me prenne comme une chienne. je veux qu'il me prenne et soulage ses désirs de mâle en chaleur. Je change de position, lachant sa queue à regret. Je me mets à 4 pattes sur le siège, Rod s'enfonce d'un coup, bien profond. Je ne sais plus où je suis, je lui demande de me défoncer, de se lacher. Je lui tends mon cul, cambre le dos, un position de salope affamée. Rod m'attrape, me grimpe et ses coups de reins se font plus fougueux, j'adore ça. Je crie et Rod me déverse son jus... je sens son corps frisonner... je savoure ce moment, encore tremblante... Comment ne pas être dépendante de ça? C'est une drogue! Me voilà de retour avec cette réflexion de début de texte. L'osmose au niveau physique est indéniable. Après cette baise délicieuse, nous devons rentrer au boulot, à contre coeur. On ne se câline pas trop, on pense à vite aller s'acheter un sandwich à avaler en 5 minutes dans la voiture en rentrant. En mangeant, nous commençons à discuter. De nous bien sûr, de l'idée d'explorer encore... ça dévie nous parlons d'erreurs passées que nous avons faites lui et moi... la discussion perdure, on a pas envie de partir. Ca se sent, on sera en retard au travail. Cette conversation sur tout ce qui nous vient en tête aborde parfois des sujets pas très agréables, d'autres très... et au final, je suis là devant l'évidence, je regarde, j'écoute Rod, et je suis amoureuse. j'aime sa manière de parler, sa manière de voir la vie, d'analyser tout tout le temps, de vouloir parfois me prendre à bout de bras pour que je me surpasse dans des domaines qui n'ont rien à voir avec le sexe. j'aime sa manière de me troubler, après encore presque dix ans, Rod me trouble, me touche, je l'admire. Oui, cette relation basée sur une relation physique incroyable tient surtout grâce à un ciment bien plus solide que ça... l'amour inconditionnel. Ce texte doit être confus, pas très clair pour qui de l'extérieur le lira mais il est sans doute plus simple d'écrire des actes sexuels que d'écrire ce que l'on ressent au plus profond de son coeur. Pour finir sur une note plus adaptée à cette appelation de blog "pour adultes", j'ai envie de crier que putaiiiinnnn écrire ce texte me donne envie de te sucer Rod!!!!!!!!!!!!!!!!

6 janvier 2014

Depuis quelque temps, Rosie et moi ne pouvons

Depuis quelque temps, Rosie et moi ne pouvons nous voir beaucoup. Bien que nous profitions de chaque possibilités pour nous dévorer, les occasions sont assez éloignées les unes des autres. Rosie a commencé un nouveau job il y a quelques mois, fonction qui va l'amener à voyager pas mal, et pourtant elle s'est rapprochée considérablement de mon lieu de travail puisqu'elle se trouve l'étage au-dessus du mien! A la nouvelle de sa mutation, j'étais comme un enfant à qui on annonçait la venue de Saint Nicolas! Dans ma tête, on allait se croiser en journée plein de fois, s'enlacer à chaque coin de couloir, s'embrasser, se toucher, baiser dès qu'un placard ou un endroit discret s'offraient à nous... Je nous revoyais il y a 9 ans, à se vautrer partout, n'importe quand!

Malheureusement, la réalité n'est plus la même. Je ne dis pas que l'envie n'est plus là, au contraire, je la sens toujours aussi forte, mais il y a semble-t-il une forme d'habitude qui s'est installée. Depuis 5 mois donc, Rosie et moi n'avons baisé "que" deux fois dans l'espace professionnel! Je comprends parfaitement qu'elle soit un peu sur ses gardes, étant donné qu'elle doit faire ses preuves dans sa nouvelle fonction, et qu'il serait plus que jamais dommageable de se faire pincer. Pourtant, je me souviens avec une certaine nostalgie que nous nous sautions dessus en permanence quand elle venait dans le bâtiment me rejoindre dans les toilettes, le local de la chaudière, le garage, le grenier... 

Depuis quelques temps aussi, de vieilles histoires nous reviennent régulièrement en tête. Des histoires qui réveillent en permanence la jalousie. Rosie a eu des aventures il y a 2 ans, des trucs passagers liés à des échanges frénétiques sur les réseaux sociaux et autres dont une qui a forcément pris une direction sexuelle. Des rapports établis dans le cadre professionnel qui débouchent sur des envies irrésistibles de prolonger.

Depuis cette période, dès qu'une situation nous prend la tête, ces souvenirs reviennent et nous nous jetons l'un l'autre la responsabilité. Rosie me parle d'une aventure que j'ai eue il y a 8 ans, je me rémémore les détails de la sienne.

Au final, le fait de moins nous voir ne nous rend pas toujours de bonne humeur, car nous savons l'un et l'autre que c'est en nous voyant que tout ça disparait. Nous avons besoin de nous toucher, nous avons besoin de baiser.

Ce midi, je rejoins Rosie sur le petit chemin de campagne qui accueille nos ébats depuis 9 ans, et je sais à coup sur que ça va nous faire un bien fou! On sera de nouveau relax, les yeux pétillants!

Je t'aime Rosie, dans 40 minutes, ton corps sera à moi! grrrr

1 décembre 2013

virée nocturne

Fête au boulot. Rod et moi sommes dans la même ville mais pas au même endroit. Le matin nous nous croisons, nous n'échangeons pas grand chose, nous sommes trop entourés. La journée se passe sans nouvelle, chacun de notre côté. Fin d'après-midi, je commence à regarder mon téléphone en espérant un signe de Rod. Ca commence à me démanger de le retrouver. J'ai un message de lui me signale de l'endroit où il se trouve avec les collègues. Je réfléchis déjà à la façon de quitter mes collègues en douce sans trop éveiller les soupçons... autrement dit, je les plante là. Tant pis. Je commence à marcher, en route vers mon amoureux. Sur la route je me demande comment ses collègues vont percevoir le fait que je débarque comme ça toute seule. Ils ont tous bus, ça aide à faire une entrée qui ne paraît pas anormale. Rod semble bien ennivré... peut-être un peu trop même. Je vois dans son regard qu'il est content que je sois là, ses yeux pétillent, nos pieds se frôlent sous la table mais je ne le sens pas débordant de vitalité et d'amour. Nous quittons le lieu et nous rendons dans une salle de concert. Un concert rock assourdissant avec un chanteur pas plus rockeur que ça et une voix qui m'agace. L'ambiance ne monte pas bien que l'alcool nous rend tous assez joyeux. Je fais remarquer à Rod que je suis là... que j'ai la sensation qu'il ne prête pas attention à moi et que je vais rentrer. Il s'amuse de ma réaction et commence à me toucher les fesses, me dire qu'il commence à bander et me demande de lui toucher le sexe discrètement. Il me tient par la taille et me parle dans l'oreille... l'envie monte d'un coup. Nous sortons fumer ensemble et envisageons notre escapade qui devient pressante. Pas très difficile, comme deux gosses pressés et décidé à faire une bêtise, nous filons vers ma voiture. Jusque là, nous traversons un parking sombre, Rod m'embrasse, me tripote, se colle contre moi... j'ai envie de lui à mort! Ma voiture est là, le long d'une route pas très fréquentée mais quand même entre deux axes très fréquentés. Rod veut me prendre là, dehors contre le capot de ma bagnole. Il ouvre son pantalon, sort sa queue dure, soulève ma jupe et abaisse ma culotte. Mes deux mains posées sur le capot, Rod tente de m'introduire, il y parvient un peu. N'importe qui peut passer là et nous surprendre, on s'en moque, ce qui compte est de nous soulager. On rentre dans la voiture lorsqu'une voiture passe juste à côté de nous. Rod se met au volant, je me jette sur sa queue et le suce. Rod démarre, il conduit et je continue à le sucer comme une morte de faim. Quel pied! Sa queue suinte et ma bouche l'enveloppe avidement. Au feu rouge, Rod donne des coups de reins pour enfoncer sa queue encore mieux dans ma gorge et ça me fait cuiner, j'en redemande. Voilà la voiture arrêtée dans la petite rue en cul de sac qui a déjà accueilli nos ébats plus d'une fois. Je doute qu'aucun habitant de cette rue n'ai remarqué notre manège et se soit rincé l'oeil. Je continue à sucer Rod, je n'arrêterais pas tellement je me régale. Rod veut me prendre. J'abaisse le siège et plonge la tête en avant sur la banquette arrière, cul en l'air, dos cambré! Rod y enfonce sa queue d'un coup, ce qui nous extrait un râle de plaisir et soulagement. Je vibre de plaisir et perds la tête d'envie. J'ai envie que Rod m'insulte, prenne possession de mon corps, me bouffe, me fasse chavirer. Ses va et vient sont profonds et intenses. Sa queue visite chatte de fond en comble, il me pilonne par moment doucement mais profondément, par moment fougueusement, parfois couché sur moi parfois relevé en tenant mes fesses et en se poussant fort en moi. Je crie, je mouille, je deviens folle de désir et plaisir. Rod m'assène des « t'es ma pute, t'es une salope, tu veux ma bite, prends là », je me régale de ces mots. Sa queue dure qui frappe dans mon ventre me fait chavirer, je jouis bruyamment. Je tremble de partout, Rod continue. Il passe sa main sous moi et titille mon clitoris gonflé. Son autre main attrape un sein et le malaxe. Je perds la raison, je veux qu'il me morde, sa main glisse sur mon cou, je voudrais qu'il le serre. Lui appartenir, complètement, je veux lui appartenir. Je lui demande de jouer de moi comme d'une poupée gonflable, qu'il m'achève, me prenne comme un chien. Rod est en pleine forme, toujours planté en moi, le sexe bien dressé. Il me veut me prendre debout, il sort de ma chatte la laissant frustrée par cette séparation. Je sors de la voiture et jambes à l'extérieur je me penche en avant sur le siège passager. Rod s'enfonce à nouveau en moi, fougueusement. J'en mordrais le siège. Je suis mal mise, coincée et Rod me défonce la chatte comme un fou. Je crie. Les voisins peuvent m'entendre, j'en ai rien à foutre. Mon bassin frotte contre le siège, se cogne, ça me fait mal et pourtant je demande à Rod de continuer à me ramoner. J'ai l'impression de ne plus être moi. Une seule chose compte, jouir, sentir son sperme inonder ma chatte. Après un long moment à me faire troncher comme une pute, en pleine rue, je jouis et Rod me rejoint et balance son jus la queue bien calée dans mon vagin repu. Depuis cette scène nocturne, j'ai le cul en feu... je n'attends qu'une chose, recommencer. Je passe mon week-end en étant obsédée par ces sensations, par la queue de mon amant que je suce, par la voix de Rod qui me souffle des mots crus à l'oreille. Je me sens chaudasse et j'attends que Rod vienne m'éteindre... je suis sa pute!

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24 novembre 2013

Délice et soulagement

 

Jeudi dernier, cela faisait 6 jours que Rod et moi ne nous étions plus vus. Pas facile de se voir en ce moment et ça nous rend par moment un peu tendus, perturbés sans doute par le manque. Ce jour là, je rentre chez lui le midi. Il est dans la cuisine en train de préparer deux sandwichs. Il m'en tend un, je mords deux bouchées et Rod s'approche de moi, m'embrasse. Ses mains sont rapidement sous ma jupe à tâter mes fesses. Je dépose mon sandwich sur le plan de travail pour répondre aux avances de Rod. Hmmm quel plaisir de le sentir, le goûter enfin. Je me mets à genoux et ouvre son pantalon. J'ai son sexe en main en quelques secondes, déjà dur, ça m'affole, ça m'ouvre l'appétit. Ma bouche l'enveloppe doucement. Je le déguste avec envie et plaisir. Ce sexe que j'adore tant. Qui sent toujours si bon, qui se dresse dès que je l'approche, qui me promet chaque fois que Rod me désire terriblement. Je suce cette queue avidement, je veux que Rod devienne fou de mes caresses. J'accélère la cadence, excitée et soulagée de le bouffer enfin! Rod me relève et l'ordonne de lui donner mon cul. Je m'appuie sur le plan de travail, haletante d'envie de sentir son sexe me pénétrer. Je bouillonne. D'un coup, il entre en moi, nous tremblons de plaisir. Son va et vient me fait cuiner. Je caresse mon clito et soulève mon pied que je pose sur l'évier. Une belle position de chienne pour qu'il s'enfonce encore mieux. Mon buste est posé sur le plan de travail, rod me pilonne merveilleusement. Je sens mon vagin s'enflammer, je mouille fort, je me sens affamée. Cette queue qui s'enfonce en moi me fait vibrer, l'orgasme explose à m'en faire perdre la tête. Le corps sensible, je pense au plaisir de Rod et lui demande de continuer, de nous achever, de me défoncer! Rod me prend comme une chienne, ses coups de queue me font crier. Je sens le corps de Rod trembler, il jouit... nous sommes essoufflés, amoureux et soulagé. J'ai hâte qu'on recommence Rod. Je t'aime.

18 novembre 2013

9 ans...

Hier, dimanche, c'était un anniversaire particulier. Un anniversaire, le neuvième. Le 17 novembre 2004, Rosie débarque pour la deuxième fois chez moi. La veille, je l'avais invitée à prendre un café. Assis l'un en face de l'autre, j'avais tenu 30 minutes sans l'embrasser. Elle venait de me raconter qu'elle était enceinte, et, bien que nous étions déjà en couple chacun (et moi avec un enfant), nous sentions l'un et l'autre que ça allait "déraper". Au moment de nous quitter, nous avions échangé un flirt, un de ces flirts langoureux, excités et irrésistiblement aimantés.

Hier donc, ça faisait 9 ans que nous avons baisé pour la première fois. Trop échaudé par le baiser de la veille, je lui avais de nouveau donné rendez-vous chez moi. Cette fois, il n'y eu aucun round d'observation. A peine entrée, je la guidais à l'étage où nous nous sommes allongés sur le tapis marocain qui repose sur le vieux plancher. Rien de très confortable. Nous étions excités comme des adolescents. Très vite, je la déshabillais et me jetais sur son sexe que je voulais goûter. Très joli petit sexe adroitement taillé, doux et terriblement appétissant. Comme un "examen de passage", j'avais littéralement fondu sur cet entre-jambes délicieux. Etape ô combien importante dans la découverte de l'autre. Pour mon plus grand bonheur, le goût, l'odeur délicate et la plastique de ce sexe m'avaient complétement séduit. J'étais déjà accro. Rosie n'était pas farouche, mais tout compte fait assez réservée. Nos corps enlacés, nous nous emboitions à merveille. Tout me plaisait chez elle. Plus tard, j'ai su qu'elle avait aussi adoré cette première fois, mais ce jour-là, je m'interrogeais. Rosie m'avait accueillie sans rechigner, sans complexe. Pourtant, elle m'avait semblé pudique et timide. Pendant près d'une heure, nous avions fait l'amour sans qu'elle ne me touche, ou alors que du bout des doigts. Un peu empruntée, un peu retenue. Comme si elle me disait déjà qu'elle ne voulait pas tout me montrer la première fois. Je ne savais quoi penser...

Il y a 9 ans donc, alors que j'aurais dit avec certitude que nous en serions restés là, tiraillés entre la mauvaise conscience (expliquée principalement par l'enfant de 2 mois qu'elle portait) et l'envie dingue de recommencer sans relâche, j'étais à un milliard de kilomètres d'imaginer qu'en novembre 2013 nous serions encore de merveilleux amants/aimants...

9 ans plus tard, Rosie travaille dans le même bâtiment que moi, tout juste un étage au dessus de mon bureau. Pour peu, je l'entendrais marcher, je l'imagine parfois en jupe, bas auto-portants spécialement vêtus pour moi le matin... et je bande!

Je t'aime Rosie

 

28 octobre 2013

nous

Nous. Rod, Rosie. Presque 9 ans de passion. Je suppose que plus personne ne s'intéresse à ce blog. Plus personne n'y passe, plus personne n'y écrit non plus d'ailleurs. Pourtant, Rod semble avoir envie qu'on prenne à nouveau le temps d'écrire ici. J'ai l'impression qu'on y a tellement dit de choses déjà. Je me trouvais redondante à la fin. Oui, vivre le sexe avec Rod est fabuleux, ça l'est toujours autant! Ecrire le sexe et ses folies au bout de plusieurs années d'écriture, on a le sensation de répéter les mêmes mots qui à la fin deviennent fades à côté de ce que l'on vit et ressent réellement. Depuis l'année dernière, notre relation a évolué. Nous sommes passés par des moments de crises, de lassitude, de déchirements entrecoupés de retrouvailles, de baises merveilleuses, de mots d'amour, de tendresse, de dépendance. Pourtant, nous sommes parvenus à passer ces moments d'orage. Je m'en retrouve plus forte, plus amoureuse, plus mature, plus sûre de moi et de mes sentiments. Je sais que jamais je ne pourrai me passer de Rod. Et là où normalement une relation de ce genre devrait s'user après autant d'années, je reste convaincue que Rod est l'homme de ma vie. Au début de notre relation, pendant les premières années, je n'imaginais pas vivre avec Rod. C'était un commun accord, je prenais le positif de notre histoire et je m'en contentais. C'était du pétillant, de l'interdit, tout allait bien comme ça. Tout va toujours bien en réalité, même beaucoup mieux qu'il y a un an. Je me sens mieux, épanouie, plus femme, plus calme. Je suis toujours aussi jalouse mais je me maîtrise mieux. Je suis plus posée et réfléchie, plus sereine et apaisée. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens mieux en règle générale. Je ne sais pas si Rod le perçoit. Ce qui par contre me pèse de plus en plus, c'est le partage. Il baise sa nana, je suis obligée de faire mon devoir conjugal. J'ai de plus en plus de mal à savoir que Rod vit des choses auxquelles je ne peux pas être associées, du mal à partir en vacances sans lui... du mal à ne pas l'avoir près de moi le soir... du mal à ne pas laisser exploser cet amour au grand jour. Je crois que ce blog pourrait me servir à ça, retranscrire tous ces flashs qui me viennent dans ma vie quotidienne, où j'imagine que Rod partage ma vie qui du coup devient un quotidien de folies! Quoique.. quand je pense à notre rendez-vous d'aujourd'hui, ça vaudrait la peine de l'écrire aussi... je sais pas, Rod, dis-moi ce qui te tente mon amour?

20 septembre 2012

mail chaud

Je suis rentrée du boulot plus tôt, un rendez-vous avorté avec Rod et une envie furieuse de lui. Je me suis masturbée... deux fois... et je lui ai envoyé ce mail:

"Je me caresse doucement, toute la surface de ma chatte et je m'excite en me disant " tu vas mouiller salope... t'as envie de baiser ".. j'écarte mes lèvres, ma chatte pour ouvrir mon vagin. Je glisse un doigt à l'entrée. fin de règle, je mouille pas bien alors que je suis excitée. Je pense à ta queue que je suce. J'humidifie mes doigts avec de la salive et je glisse un doigt à l'intérieur. "hmmmm une bonne chatte de salope, t'es une pute, tu dois mouiller". Je prends un marqueur avec lequel je dessine et je l'enfonce doucement dans ma chatte, puis le retire entier, puis le rentre. Tout en douceur, pas envie d'être fougueuse, ça m'excite de faire monter doucement. J'imagine ta langue et mes doigts chipotent mon clito doucement pendant que le marqueur s'enfonce. "t'aime ça, t'as envie de jouir comme une salope. Ta chatte l'avale, elle a envie de sa bonne queue"... je retire le marqueur et arrête de me caresser, ça monte trop vite et j'ai envie d'encore faire durer. J'enfonce juste un peu mon doigt à l'entrée, puis remets le marqueur. J'imagine ta queue plantée dans ma chatte et l'orgasme arrive je le sens. Je passe juste mes doigts sur mon clito en même temps, juste des caresses, des effleurements et je jouis... double orgasme deux fois... mais ta queue me manque!!!!"

13 juillet 2012

départ en vacances

je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, je t'aime, je meurs d'envie de toi, et je serai vite de retour pour te le rappeler...

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