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1 décembre 2013

virée nocturne

Fête au boulot. Rod et moi sommes dans la même ville mais pas au même endroit. Le matin nous nous croisons, nous n'échangeons pas grand chose, nous sommes trop entourés. La journée se passe sans nouvelle, chacun de notre côté. Fin d'après-midi, je commence à regarder mon téléphone en espérant un signe de Rod. Ca commence à me démanger de le retrouver. J'ai un message de lui me signale de l'endroit où il se trouve avec les collègues. Je réfléchis déjà à la façon de quitter mes collègues en douce sans trop éveiller les soupçons... autrement dit, je les plante là. Tant pis. Je commence à marcher, en route vers mon amoureux. Sur la route je me demande comment ses collègues vont percevoir le fait que je débarque comme ça toute seule. Ils ont tous bus, ça aide à faire une entrée qui ne paraît pas anormale. Rod semble bien ennivré... peut-être un peu trop même. Je vois dans son regard qu'il est content que je sois là, ses yeux pétillent, nos pieds se frôlent sous la table mais je ne le sens pas débordant de vitalité et d'amour. Nous quittons le lieu et nous rendons dans une salle de concert. Un concert rock assourdissant avec un chanteur pas plus rockeur que ça et une voix qui m'agace. L'ambiance ne monte pas bien que l'alcool nous rend tous assez joyeux. Je fais remarquer à Rod que je suis là... que j'ai la sensation qu'il ne prête pas attention à moi et que je vais rentrer. Il s'amuse de ma réaction et commence à me toucher les fesses, me dire qu'il commence à bander et me demande de lui toucher le sexe discrètement. Il me tient par la taille et me parle dans l'oreille... l'envie monte d'un coup. Nous sortons fumer ensemble et envisageons notre escapade qui devient pressante. Pas très difficile, comme deux gosses pressés et décidé à faire une bêtise, nous filons vers ma voiture. Jusque là, nous traversons un parking sombre, Rod m'embrasse, me tripote, se colle contre moi... j'ai envie de lui à mort! Ma voiture est là, le long d'une route pas très fréquentée mais quand même entre deux axes très fréquentés. Rod veut me prendre là, dehors contre le capot de ma bagnole. Il ouvre son pantalon, sort sa queue dure, soulève ma jupe et abaisse ma culotte. Mes deux mains posées sur le capot, Rod tente de m'introduire, il y parvient un peu. N'importe qui peut passer là et nous surprendre, on s'en moque, ce qui compte est de nous soulager. On rentre dans la voiture lorsqu'une voiture passe juste à côté de nous. Rod se met au volant, je me jette sur sa queue et le suce. Rod démarre, il conduit et je continue à le sucer comme une morte de faim. Quel pied! Sa queue suinte et ma bouche l'enveloppe avidement. Au feu rouge, Rod donne des coups de reins pour enfoncer sa queue encore mieux dans ma gorge et ça me fait cuiner, j'en redemande. Voilà la voiture arrêtée dans la petite rue en cul de sac qui a déjà accueilli nos ébats plus d'une fois. Je doute qu'aucun habitant de cette rue n'ai remarqué notre manège et se soit rincé l'oeil. Je continue à sucer Rod, je n'arrêterais pas tellement je me régale. Rod veut me prendre. J'abaisse le siège et plonge la tête en avant sur la banquette arrière, cul en l'air, dos cambré! Rod y enfonce sa queue d'un coup, ce qui nous extrait un râle de plaisir et soulagement. Je vibre de plaisir et perds la tête d'envie. J'ai envie que Rod m'insulte, prenne possession de mon corps, me bouffe, me fasse chavirer. Ses va et vient sont profonds et intenses. Sa queue visite chatte de fond en comble, il me pilonne par moment doucement mais profondément, par moment fougueusement, parfois couché sur moi parfois relevé en tenant mes fesses et en se poussant fort en moi. Je crie, je mouille, je deviens folle de désir et plaisir. Rod m'assène des « t'es ma pute, t'es une salope, tu veux ma bite, prends là », je me régale de ces mots. Sa queue dure qui frappe dans mon ventre me fait chavirer, je jouis bruyamment. Je tremble de partout, Rod continue. Il passe sa main sous moi et titille mon clitoris gonflé. Son autre main attrape un sein et le malaxe. Je perds la raison, je veux qu'il me morde, sa main glisse sur mon cou, je voudrais qu'il le serre. Lui appartenir, complètement, je veux lui appartenir. Je lui demande de jouer de moi comme d'une poupée gonflable, qu'il m'achève, me prenne comme un chien. Rod est en pleine forme, toujours planté en moi, le sexe bien dressé. Il me veut me prendre debout, il sort de ma chatte la laissant frustrée par cette séparation. Je sors de la voiture et jambes à l'extérieur je me penche en avant sur le siège passager. Rod s'enfonce à nouveau en moi, fougueusement. J'en mordrais le siège. Je suis mal mise, coincée et Rod me défonce la chatte comme un fou. Je crie. Les voisins peuvent m'entendre, j'en ai rien à foutre. Mon bassin frotte contre le siège, se cogne, ça me fait mal et pourtant je demande à Rod de continuer à me ramoner. J'ai l'impression de ne plus être moi. Une seule chose compte, jouir, sentir son sperme inonder ma chatte. Après un long moment à me faire troncher comme une pute, en pleine rue, je jouis et Rod me rejoint et balance son jus la queue bien calée dans mon vagin repu. Depuis cette scène nocturne, j'ai le cul en feu... je n'attends qu'une chose, recommencer. Je passe mon week-end en étant obsédée par ces sensations, par la queue de mon amant que je suce, par la voix de Rod qui me souffle des mots crus à l'oreille. Je me sens chaudasse et j'attends que Rod vienne m'éteindre... je suis sa pute!

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Commentaires
R
hmmmm ouiiiiiiiiiiii délicieux, explosif! autant que notre midi... hmmmm j'ai hâte de notre prochaine fois! ( et de lire ici ton prochain texte )
R
Quel pied cette soirée, n'est-ce pas ma chère Rosie!!! C'est toujours aussi délicieux de se chauffer à en perdre la tête! hmmm Le risque de se faire prendre multiplié par cette envie irrésistible qui nous habite depuis 9 ans font de ces soirées des moments de plaisir vicieux et animaux qui resteront à jamais gravés dans nos têtes! Je sens que notre midi va être encore bien cochon ma pute adorée...
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