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8 avril 2010

le temps des vacances

Voilà, Rod a décollé mardi et rentre mardi soir très tard. Le week-end, nous le passions chacun en famille, il était à priori improbable que l'on puisse se voir pour se dire au revoir une dernière fois. Pourtant, dimanche, alors que j'étais chez moi, j'ai évité la balade familiale afin d'aller retrouver Rod qui travaillait. En effet, il bosse de temps à autre dans un musée le week-end. Nous avons échangé des messages tout le long du trajet me menant de chez moi au musée. Je stresse toujours un peu d'aller l'y rejoindre, soit par crainte que des visiteurs débarquent justement à ce moment là ou que sa compagne ait l'idée de venir lui dire bonjour. Nous prenons donc les précautions nécessaires pour nous assurer un maximum que madame ne risque pas de venir troubler notre fête. Je débarque, Rod ferme la porte derrière moi. Nous ne tardons pas à nous diriger vers les toilettes au sous sol, lieu sans caméra et sans fenêtre sur l'extérieur. Nous voilà dans le hall des toilettes, nous nous embrassons sans attendre. Rod ouvre son pantalon et me présente son sexe. Je me mets à genoux et le prends en bouche. Lui est debout. J'adore cette position qui me permet de prendre sa queue bien profondément et de lui toucher les couillles en même temps. Rod donne des coups de reins pour toucher le fond de ma gorge, je ne recule même pas. Cette position est parfaite. Je relève un peu le tête et je vois Rod, les yeux vicieux fixé sur cette scène qu'il semble juger très excitante. Après m'être délectée de sa bite bien dure, Rod veut me prendre. Je me relève et me présente à lui debout, bras appuyé sur le lavabo. Nous sommes face au miroir. Rod me prend par derrière et enfonce d'un coup sa queue dans ma chatte affamée. Je garde les jambes jointes et me cambre pour lui présenter mon cul. Le va et vient de cette queue délicieuse dans mon ventre me rempli de bonheur et de plaisir. Je ne tarde pas à jouir. Rod est toujours agrippé à mes hanches. Il les attire vers lui, mes mouvements de bassins font tout pour le rejoindre. Je contemple notre symbiose dans ce miroir... je nous trouve beaux, très beaux. Le couple parfait. Nos regards se marient dans ce reflet. Rod continue ses coups de queue pendant plusieurs minutes, faisant s'attarder mon orgasme délicieux. Il me demande si je veux qu'il jouisse dans ma chatte ou sur mon visage car il sent que ça va venir. "Lâche ton jus dans ma chatte, je te veux dans ma chatte"... il jouit. Je regarde sa jouissance dans le miroir et j'en suis transportée. Qu'il est beau mon amant... hmmmm

Je me suis quasi "sauvée" après cet épisode, j'avais peur que quelqu'un et principalement sa compagne n'arrive. J'ai embrassé Rod et je suis remontée dans ma voiture pour rentrer. Drôle de sensation alors, que de fuir de la sorte alors qu'après nous ne pourrons plus avoir de contact jusque mercredi prochain et nous voir je ne sais pas quand encore... Nous avons continué notre rendez-vous au téléphone. Nous avons discuté pendant une heure et  raccrocher m'a été pénible. Là, je m'occupe un maximum afin que le temps passe vite, je pense à Rod, il me manque. Mes pensées sont plutôt tristes quand je pense à lui. Mon imaginaire a tendance à imaginer comment se passe ses vacances en famille... j'imagine ce qu'elles pourraient être si nous étions un couple officiel... Je suis contente pour lui, il a besoin de repos mais je crois que je ne peux pas nier qu'une petite pointe de jalousie m'envahit par moment.  

Quelle relation tordue! Magnifique et tordue! pffff

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