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13 mars 2008

Fin de semaine déjà...

Je ressens toujours une impression de mélancolie le dernier jour de la semaine où je pourrai voir Rod. Ca me laisse un goût amer, j'ai pris encore un pied d'enfer, inqualifiable ce midi, j'en ai perdu la tête! Comme la retombée est difficile!!! Une séparation, une de plus, un éloignement même de trois jours qui me paraît si insupportable qu'aussitôt je retourne déjà dans ma petite tête des possibilités de trouver des moments « bonus » pour le voir demain ou du week-end. Je l'ai pas encore quitté, je suis déjà toute retournée, je m'éteinds un peu, je me sens une humeur à la déprime, me mets en mode « pause » jusqu'à la prochaine fois, une sorte de mélancolie et de frustration m'envahit! Je me sens aussi limite de me mettre à lui « chercher des poux » en abordant des sujets qui ne me plaisent pas comme les autres nanas susceptibles de lui tourner autour. Ouais,  le quitter sur une dispute, du désagréable, me refroidir afin de rendre le manque moins pesant. C'est pas conscient mais cette sale manie de parler de ce qui m'emmerde et me rend jalouse dès que je sais que je vais être séparée de lui, elle doit bien avoir une raison d'être. Un truc tordu encore, genre protection. Bref,  je le quitte, je manque aussitôt de lui, un vide à me faire par moment mal au bide. Ce midi, alors que j'étais sur lui, ( nous étions encore excités comme si nous n'avions plus baisé depuis une semaine ), j'ai senti un orgasme fulgurant monter très vite, je sentais que cet orgasme serait tellement puissant qu'il risquait d'être insupportable! C'est amusant ça, un peu comme si j'avais peur de l'orgasme qui se pointait! Je pourrais imager ça avec l'excitation qu'on a avant de monter dans une attraction sensation forte, on est excité, on sait qu'on va prendre son pied mais à la fois, on a la trouille, ça retourne trop le ventre! Je ne parviens même pas à expliquer ce qui s'est passé, j'ai comme voulu « retenir » ce plaisir explosif! J'ai pas pu longtemps, j'ai explosé comme c'est pas permis, à en être mal à l'aise de: « trop »! Trop d'envie, trop d'émotions, trop de plaisir, trop de sensationnel, trop de « guilis » dans tous les coins! Une fois cet orgasme long retombé un peu, lui continuant à me donner des coups de queue, je nage dans l'extase!  Mon dieu, comme c'est bon! Je n'ai jamais jouis aussi fort de ma vie, jamais. Rod m'a fait redécouvrir l'orgasme et surtout qu'il y en a de force bien différente. Y a « jouir » et y a « EXPLOSER DE PLAISIR »! La force de la jouissance doit sans doute varier avec l'excitation, l'envie et la manière de faire du partenaire... c'est magique! Je ne m'en remets pas, je suis hors de moi, à des kilomètres de la planète terre... et là... lui.... il vaut continuer. Il veut m'enculer, il veut m'achever et pouvoir jouir à son tour. Ce qu'il fait. La douceur précédant une fougue inouïe. Je n'ai jamais été adepte de la sodomie, loin de là, avec lui, j'en redemande! Me revoilà plongée dans nos ébats torrides de tout à l'heure et je m'emporte à trop en raconter. Je voulais mettre des mots sur le manque ressenti et la frustration de fin de semaine. Vivre un moment si intense, se sentir en osmose totale avec lui et devoir le quitter bien vite, pour plusieurs jours sans doute... ça ne peut que me foutre mal. Je crois que je dois pas en dire plus pour être comprise, il est devenu un besoin. Un besoin primaire, il est devenu indispensable.

Je t'aime mon amour, tu me manques terriblement déjà...

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