clap! la première (enfin)

me replonger dans ces souvenirs me donnent à mon tour envie de prolonger un peu...

l'épisode de cette expérience malheureuse d'une partouze avortée, je me retrouvais seul dans cette grande ville où j'étudiais. ma vie était rythmée par les sorties quasi quotidiennes et les potes avec qui je passais mes journées. le week end, je rentrais chez mes parents pour y retrouver les amis dans notre bistrot de province, là où nous passions nos vendredi soirs les années d'avant. j'y retrouvais tous ceux qui étaient comme moi partis vers d'autres cieux et faisaient valoir leur nouvelle expérience aux plus jeunes encore en secondaire, mais utilisant notre aura auprès des filles bien sur. chaque vendredi se ressemblait, nous mations les filles pour de nouvelles conquêtes. les week ends passaient à vive allure entre les rendez-vous et le sport que je pratiquais assidument.

de l'année précédente, une jolie et sympathique fille me tournait un peu autour. je la regardais différemment maintenant que j'avais pris des gallons. elle commençait à m'interesser de plus en plus à mesure que le temps passait. christelle avait 2 ans de moins que moi, et sous un aspect très discret, ce que j'ai toujours adoré chez les filles, n'en était pas moins directe. un soir que je faisais la fête avec mes amis, elle s'est approchée de moi et m'a abordé dans un style des plus frontal. "toutes mes copines sont bleues de toi, mais c'est avec moi que tu vas sortir, hein!" 

je me souviens très bien n'avoir pu répondre directement, tellement surpris par tant d'aplomb!  elle venait de marquer 50 000 points d'un coup, mes bras en tombaient!

nous sommes d'abord sorti quelques semaines en nous contentant de petits flirts et de caresses légères. j'étais fou amoureux et mes pensées ne la quittaient jamais. pendant tout ce temps, je ne sortais d'ailleurs quasiment plus en semaine, et mes études reprenaient vigueur! je voulais l'épater et qu'elle m'admire! nous envisagions de faire l'amour, mais pour sa première fois, elle rêvait d'une belle nuit, d'un comte de fée... ce que je respectais tout à fait, tellement content de lui donner ce qu'elle cherchait. au bout de quelques semaines donc, avec le retour du temps meilleur, ses parents reprenaient le chemin de leur résidence secondaire les week ends. nous pouvions donc profiter pleinement de la maison familiale! ravi d'une telle opportunité, je comptais les jours qui me séparaient du vendredi en question. toute la semaine, ne tenant plus d'envie, j'hésitais entre me préserver pour arriver le jour J plein d'entrain ou me masturber sans arrêt pour n'avoir pas à lutter contre l'éjaculation précoce... il va sans dire que ma petite expérience du sexe devait lui donner la possibilité de vivre son dépucelage dans les meilleures conditions. je trépignais mais ai finalement opté pour la deuxième solution! il ne se passait pas un jour sans que je me branle au moins 2 à trois fois, je devenais fou d'excitation à l'idée de fouler ce corps que j'avais pu juste caresser un peu.

le vendredi soir arriva et je tournais en rond chez mes parents. nous avions convenu que je débarque vers 22h et que je lui téléphone avant pour nous assurer que la voie était libre.

à 22h10, j'étais sur le pat de la porte!

christelle m'embrassa doucement et, sans un mot, me dirigea tout de suite dans la chambre. nous nous sommes allongés en nous caressant tendrement, je faisais mine de garder mon calme que mes 2 masturbations  n'avaient pas réussi à donner. nous nous sommes déshabillés petit à petit, découvrant cette belle poitrine ferme qui me rendait fou et son sexe humide bien dessiné qui me remplissait de joie, je bandais comme un fou! conscient que je devais être particulièrement tendre pour sa première fois, je devais retenir une fougue inouie qui me terassait. christelle me tenait le sexe pour la première fois, elle semblait déjà si bien le comprendre. avant même la pénétration, elle entreprit déjà de le prendre en bouche, certes un peu maladroitement mais décidément, je n'en revenais pas... quand enfin, j'introduis mon sexe en elle, je sens une petite résistance, l'hymen sans doute, mais cette impression est étrange. elle gémit, se tortille, souffle lourdement mais me promet que c'est bon. plus occupé à veiller à ce que tout se passe bien, mon attention se porte sur le sang qui coule le long de ses jambes. christelle pleure de joie. je peux m'enfoncer plus lourdement. 

cette première expérience avec cette fille a été le point de départ d'une histoire de presque 4 ans, où, pendant les 3 premières années, je n'avais d'yeux que pour elle. jamais je n'avais d'intentions ni d'envies pour quelconque autre fille, 3 ans de parfaite symbiose où le sexe était pour l'époque et notre âge, une activité frénétique. christelle se découvrit tigresse, je suis devenu obsédé. pas un jour sans baiser, on devenait complètement fou. nous passions notre temps à nous bouffer, mais quand j'y repense, c'était souvent très court. comme si déjà, nous sentions que ça ne durerait pas...

puis, le vent a tourné, et je ne l'ai plus supportée...