Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
les aimants
24 avril 2008

Fellation promise, fellation due!

Hier après-midi, lors de nos nombreux échanges de mails, Rod et moi tentons à tout prix de trouver encore un peu de temps cette semaine pour nous soulager. Il faut dire que les mails, c'est bien, ça nous permet d'être quasi non-stop en contact mais en tant qu'amants, on se parle pas de la pluie et du beau-temps! Y a toujours un moment ( déjà même en général au bout du deuxième texte échangé ) où l'un de nous deux fait sentir à l'autre une envie pressante de baiser. Nous convenons de nous retrouver ce matin une demi-heure avant d'aller bosser, dans une petite rue en cul-de-sac, pleine d'habitations mais assez calme et qui fait bien l'affaire pour un coup rapide et urgent. Notre petit coin de campagne étant plus éloigné, ce petit bout de rue abrite de temps à autre nos ébats. Bref, je me réveille ce matin avec une idée fixe et adaptée à l'endroit de notre rendez-vous coquin: je veux le suçer! Je pense ne plus devoir répéter comme j'adore ça depuis que je connais Rod. Je me retrouve donc sur la route du travail, toute émoustillée, rayonnante, pimpante, prête à tout pour faire exploser de mes lèvres cet homme que j'adore. Qu'il est agréable de pétiller et vibrer toujours après trois ans et demi! Sur la route, ma joie se transforme rapidement en déception quand mon téléphone "bip bip" et me crache pour Rod une nouvelle on ne peut plus frustrante: "un empêchement! Impossible de se voir!" houlàlàlàlàlàlàlà même avec toute ma compréhension, la déception est importante. " Comment je peux imaginer que Rod ne va plus me prendre et m'offrir sa queue d'ici lundi?" Je me résigne à prendre le chemin du bureau, au moins pour une fois, je comble mon chef, je badge en avance... Midi: Rod avait envisagé pouvoir se libérer: hé non, encore raté! ( moi: "au secouououououuours" ) Inutile de détailler que les échanges de mails qui ont suivis ont fait de moi une femme râleuse et emmerdeuse. J'excelle dans l'art de "gonfler" Rod, plus ou moins fort selon mon degré d'agacement et de frustration, dès qu'on loupe une occasion de se voir. Ca ne prend pas de proportions très importantes cette fois, nous retrouvons vite l'envie de nous chauffer. Fin de journée, Rod m'invite à passer par son bureau. Lorsque j'arrive, une de ses collègues que je connais bien me "saute dessus" et commence à me raconter sa vie. Evidemment, elle ne sait rien de ma relation avec Rod. C'est bien beau tout ça ma belle mais il est où Rod? je ne formule pas ça à voix haute, me contente de le penser fort. Mes yeux ne recherchent qu'une seule personne dans leur champ de vision: Rod bien sûr. Haaaaa le voilà, hmmmmmmmmmm comme il est beau! Je me sens vite "toute chose", toute chaude même! La présence de la collègue rend la situation aussi agaçante qu'amusante. Agaçante parce que dans ces cas-là j'ai envie de dire: "pfffffff laisse-nous un peu là, tu vois pas que tu gênes?" et amusante car Rod et moi nous parlons peu, nous nous regardons peu, comme si un seul regard ou une trop longue discussion pourrait faire sentir l'oignon! Nous tentons au maximum d'être naturels mais le sommes-nous vraiment? j'en doute un peu... Ha! Ca y est, la collègue nous salue, sa journée prend fin! Rod et moi partons ensemble et enfin nous retrouvons seul dans la rue. Distances obligées encore! Nous discutons, nos regards se prolongent et les aimants agissent... l'attirance est incroyable. Rod me propose de me déposer en voiture à la boutique où j'ai des achats à faire. J'accepte joyeusement! Aussitôt dans la voiture, nos mains s'aventurent sur l'autre, au travers des vêtements. Comme nous devons nous cacher, tout ce jeu de mains, se passe en dessous de tout ce qui pourrait être perçu de l'extérieur... faut avouer que même sans ça, nos mains sont vite en bas de la ceinture! Le contact physique quel qu'il soit est une obligation dès que nous nous trouvons à proximité. Je lui glisse un "je t'aime" sincère et je l'admire avec insistance. Nos mains passent de nos cuisses à nos sexes. Je sens sa bite qui durçit au travers de son pantalon ( moment de gloire et bonheur chaque fois pour moi ), sa main frôle mon entre jambe. Le contact du tissu sur mon sexe avec la pression de sa caresse est délicieux. La chaleur monte, je sens mon corps réagir, je salive, je meurs d'envie de lui. Le terminus est pourtant proche et la rue où nous nous garons est très fréquentée autant par les piétons que les voitures. Nous continuons nos caresses sages bien que très excitantes en commençant à regarder un peu partout si un endroit ne serait pas un peu plus caché. Il va de soi aussi bien sûr que nous sommes pressés par le temps. Rien à l'horizon ne semble pouvoir être un lieu idéal même pour un "fast food". Nous continuons pourtant à nous exciter au point que ça en devient insoutenable! Rod, sort sa bite et me montre son érection. Chose à ne pas faire ou je dirais plutôt que lui sait qu'il doit le faire pour que je ne me tienne plus! Ho mon dieu... comme il bande bien! Un moment sans passant et je le prends en bouche, une bagnole garée pourtant sur le trottoir opposé avec un père et ses gosses à l'arrière. Cette idée m'a bloquée deux minutes ( ou secondes? ): ils ne semblent pas prêter attention à nous. De toute façon, je suis tellement envahie d'envie, je peux pas faire autrement! Des passants qui passent et repassent, des voitures qui se parquent... et moi, sa bite en bouche! Je ne suis pas bien placée, tentant au maximum de me faire discrète pour l'extérieur et malgré tout, ça m'excite, ça m'excite terriblement de le sucer au beau milieu de cette rue peuplée! Je fais tout pour prendre au mieux son sexe, le plus profondément possible, soucieuse toujours de lui donner un maximum de plaisir. Je sens sa queue glisser contre ma langue, si douce, si délicieuse que j'en arrive à oublier où je suis. Rod donne des petits coups de reins pour que sa bite rentre bien, il veut s'enfoncer encore plus, il m'excite quand il prend ma bouche comme ça. Là, je suis trop en appétit que pour stopper pour quiconque, je lui bouffe la queue du mieux que la position me le permet! Je la veux! Je veux que Rod jouisse dans ma bouche et je fais tout pour, je le sens excité autant que moi par la situation et il tapisse mon palais de son sperme assez vite.... je l'avale... je goûte le résultat de son plaisir, j'adore ça! Je relève la tête. La vie à l'extérieur file toujours aussi vite. Moi j'ai fait une pause passée inaperçue par ces gens pressés de rentrer chez eux, stressés par leur journée de boulot... je sors rapidement de la voiture, file faire mon achat, cours vers une dernière réunion pour la journée... mais je suis zen et heureuse!
Publicité
Publicité
Commentaires
les aimants
Publicité
Publicité